Tu as mal, une envie de parler, de crier, de pleurer...Ta douleur est là et il suffirait de la faire partager, de te dévoiler pour que ça aille mieux. Ne te fais pas trop d'illusions, tu auras beau dire ce que tu veux, sous-entendre que tu souffres, parler de ta tristesse, personne ne viendra t'écouter. "De belles années avec toi, tu me manques", "Qu'est-ce que j'ai fait de mal ?", "Je veux qu'on recommence comme avant", "Putain de merde :( "... Ils liront ton pathétique message et par réflexe, te demanderont ce qui ne va pas...Mais saches qu'ils n'en ont rien à faire de ce que tu ressens et de ce que tu es entrain de vivre. La preuve ? Recentre l'intérêt un bref instant sur eux et tu passeras direct au second plan pendant un long moment. "Et toi de ton côté ?". Tu pourras alors sortir ton joli smiley pour un semblant de sourire et te mettre à écouter leurs vies qu'ils trouvent tellement intéressantes. "J'ai acheté une pomme aujourd'hui à Carrefour, elle était super acide lol, et dedans il y avait même un ver de terre mdr, c'était trop dingue, je te raconte pas la tête quand j'ai découvert ça...". Et oui, quoi qu'il arrive, malgré les efforts et les moments où tu étais là pour eux quand ça n'allait pas, ils te laisseront tomber tout en croyant que tu iras bien. Ton histoire les fait chier, tout comme le fait d'être pitoyable quand tu en parles. Arrête de croire en eux et renferme toi, ne les laisse plus s'approcher de toi, ni eux ni personne d'autre. Un semblant d'amitié à sens unique, des gens qui ne comprennent pas ce que tu ressens et qui ne cherchent pas à savoir...Tu n'as pas besoin d'eux, tu n'as pas besoin de faux espoirs...Tu es seul dans ta merde et tu t'en sortiras seul. Seul ton ombre te suivra et t'écoutera, quelle que soit la situation, alors écoute-là : Lâche tout.
I-m-Writing
I just want to be happy...
I-m-Writing
I just want to be happy...
Samedi 3 juillet 2010 à 1:30
Vendredi 2 juillet 2010 à 2:04
Bonjour toi, l'ange qui a enchanté ma vie. Si tout se passe bien, tu seras bientôt allongée par terre, tel un faible petit ver de terre luisant au sol, rampant difficilement à travers cette mare de pluie que ton sang viendra colorer...Tes agresseurs seront derrière toi, tes vêtements entre les mains et se demandant qui viendra t'écarter les jambes en premier...Dans ta peur et ton incapacité à crier et à t'enfuir, ton instinct de survie t'orientera vers moi...Alors, levant ton visage abimé en ma direction et entrouvrant tes yeux fatigués et emplis de larmes, tu pourras mettre ta fierté de coté et me supplier de t'aider à sortir de cette impasse, comme je l'ai toujours fait par le passé...Et c'est ainsi que dans un éclat de rire, je répondrai négativement à ta demande, profitant de cette occasion pour déposer mon pied sur ton crane et te l'enfoncer au sol jusqu'à en entendre un léger claquement...Oui, moi aussi je t'ai aimé.